Dans la série des concerts passés, nous avons retrouvé celui de Little Bob datant de 1986, quand Le Plan était installé Rue Rory Gallagher à Ris-Orangis !
On vous souhaite un bon visionnage !
Dans la série des concerts passés, nous avons retrouvé celui de Little Bob datant de 1986, quand Le Plan était installé Rue Rory Gallagher à Ris-Orangis !
On vous souhaite un bon visionnage !
Quoi de mieux que leur musique pour vous convaincre de venir les voir sur scène ? Les artistes du trimestre en playlist, c’est par ici, maintenant, en écoute et visioclip !
Tout a démarré par un groupe d’amis avec le rap comme dénominateur commun. Alors que les frères Ademo s’en vont former PNL, Karim, leur cousin, et Samy, montent DTF dans leur ville d’Ivry-sur-Seine. Les duos ont tracé leur route mais leurs destins restent liés : DTF a construit sa carrière sur le label de ses amis et tous deux ont fait tournée commune. Trois albums plus tard, l’acronyme de Dans Ta Face pèse aussi lourd dans le nouveau paysage rap : que la famille, on vous dit !
En Belgique aussi, le post-punk réveille la jeune génération et inspire les nouveaux groupes. En la personne de Fenne Kuppens, leur impressionnante chanteuse au timbre androgyne, les Whispering Sons tiennent une présence menaçante, tandis que les guitares balancent des éclairs sur des rythmes tribaux. Le quintet fait siens le romantisme noir d’Echo & the Bunnymen et la froideur gothique de Bauhaus, digne correspondant belge d’Interpol et des Editors. Un vrai clair-obscur.
Le mythique Sékouba Bambino et Petit Kandia, meilleur représentant de la jeune scène locale : il ne fallait pas moins de deux chanteurs au groupe assemblé par le guitariste Moh! Kouyaté pour les quelques classiques de l’âge d’or de la musique guinéenne glissés au milieu de ses compositions. Guitares, claviers, basse, batterie, balafon, kora et ngoni… un ensemble trans générationnel franco-africain pour que l’héritage mandingue épouse la nouvelle vague guinéenne. Bienvenue à Conakry !
À Bamako, l’épatante Académie de la Mousso forme les candidats aux métiers de la musique. C’est là que MajoDJ a travaillé son art des platines, puisant pour l’inspiration dans son amour de la house ou de l’électro comme dans les musiques africaines. Ses mixes intercontinentaux représentent autant d’échanges culturels et de BPM, tous à destination du dancefloor.
Le 24 janvier 2020, il faisait frois, mais Le club a eu chaud avec David Walters et Yellowstraps en ouverture !
Merci Marco pour les photos 😉
Il se définit lui-même « globe-singer » et on n’aurait pas dit mieux. Etabli à Marseille, son passeport compte de nombreux tampons qui attestent que ce compositeur, chanteur, remixeur et DJ trouve son inspiration dans les voyages. Après être apparu sur le label ¡Ya Basta! (Gotan Project, Boyz from Brazil…), il ressurgit pour une soul toujours aussi bouillonnante qui rend hommage à ses racines caribéennes.
© Marc Delavaud